Marcel Lauzière
Marcel Lauzière
Marcel Lauzière is president and CEO of the Lawson foundation. He is the past chair of YMCA Canada and currently serves on the board of the Definity Insurance Foundation. He brings to the table his experience as a pan-Canadian, with footholds in Ontario and Quebec. Lauzière believes that sector survival and advancement rests heavily on a strong and unified narrative, both to inform the public on the role of the sector and to engage government. He believes that foundations should strive for increased transparency when it comes to both governance and dispersal of funds, as part of a process of building trust and establishing legitimacy, and hopes to rebuild the role and responsibilities of both grantor and grantee in those relationships. He would like to see the sector have a true seat at the government table, to weigh in on existing policy and push for reform, and believes those transformational goals are a vital part of that process. He sees The Philanthropist as a vehicle that can continue to challenge the sector, on the work agencies are engaged in now as well as the work that lies ahead, and hopes The Philanthropist will seek out and hire experienced journalists to do the work that will form the core of its coverage.
Marcel Lauzière est président et directeur général de la Lawson Foundation et l’ancien président du conseil d’administration de YMCA Canada et siège actuellement au conseil d’administration de la Definity Insurance Foundation. Il apporte son expérience en tant que citoyen pancanadien, lui qui est installé en Ontario et au Québec. M. Lauzière estime que la survie et l’avancement du secteur reposent largement sur un récit puissant et uniformisé, à la fois pour informer le public sur le rôle du secteur et pour s’impliquer auprès du gouvernement. Il estime que les fondations devraient s’efforcer d’accroître la transparence tant en matière de gouvernance que de dispersion des fonds, dans le cadre d’un processus de création de la confiance et d’établissement de la légitimité, et il espère reconstruire le rôle et les responsabilités du bailleur de fonds et du bénéficiaire dans ces relations. Il aimerait que le secteur ait un véritable siège à la table du gouvernement, pour se prononcer sur la politique actuelle et faire avancer la réforme, et il estime que ces objectifs de transformation sont une partie essentielle de ce processus. Il considère le magazine The Philanthropist comme un véhicule qui peut continuer à défier le secteur, sur les travaux que les agences effectuent actuellement ainsi que sur ceux qui sont à venir. Il souhaiterait aussi que le magazine The Philanthropist recherche et embauche des journalistes expérimentés pour effectuer le travail qui sera au cœur de sa couverture.