Sarah Midanik

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Sarah Midanik

Sarah Midanik is an Indigenous professional who is passionate about increasing capacity and social impact within Indigenous communities. She is the president and CEO of the Gord Downie & Chanie Wenjack Fund, a national charity that seeks to build cultural understanding and create a path to reconciliation between Indigenous and non-Indigenous Canadians. Born and raised near the historic Métis community of St. Albert, Midanik is a proud member of the Métis Nation of Alberta. She sits on the national board for Boys & Girls Clubs of Canada and advises the Indigenous Professional Association of Canada and the Indigenous Centre for Innovation and Entrepreneurship. She is the former executive director of the Native Women’s Resource Centre of Toronto. For Midanik, it is critically important that the reconciliation movement is seen not as a trend but is accepted as an essential component in organizational transformation, across the sector and beyond. The Philanthropist, in her view, can aid in this work by holding space for all voices within the charitable sector. She feels the sector must engage the next generation through, in part, an enhanced digital strategy that includes increased use of social media and digital tools.

Sarah Midanik est une professionnelle autochtone qui se passionne pour l’accroissement des capacités et des incidences sociales au sein des communautés autochtones. Elle est la présidente et la directrice générale du Fonds Gord Downie & Chanie Wenjack, une organisation caritative nationale qui cherche à favoriser la compréhension culturelle et à créer un chemin de réconciliation entre les Canadiens autochtones et non autochtones. Née et élevée près de la communauté métisse historique de Saint-Albert, Mme Midanik est une fière membre de la Nation métisse de l’Alberta. Elle siège au conseil d’administration national de Repaires jeunesse du Canada et conseille l’Indigenous Professional Association of Canada et l’Indigenous Centre for Innovation and Entrepreneurship. Elle est l’ancienne directrice générale du Native Women’s Resource Centre de Toronto. Pour Mme Midanik, il est essentiel que le mouvement de réconciliation ne soit pas considéré comme une tendance, mais qu’il soit accepté comme une composante essentielle de la transformation organisationnelle, dans tout le secteur et au-delà. Selon elle, le magazine The Philanthropist peut contribuer à ce travail en laissant la place à toutes les voix au sein du secteur caritatif. Elle estime que le secteur doit mobiliser la prochaine génération par l’intermédiaire, entre autres, d’une stratégie numérique améliorée qui comprend une utilisation accrue des médias sociaux et des outils numériques.